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Les droits des enseignant(e)s migrant(e)s, des filles et des jeunes femmes ont résidé au cœur de deux résolutions importantes adoptées le 24 juillet dernier, lors du 7e Congrès mondial de l’Internationale de l’Education, réuni à Ottawa, au Canada.

Le syndicaliste enseignant iranien Esmail Abdi a pu sortir de son isolement cellulaire pour rejoindre le quartier général de la prison d’Evin.

Le Bureau Asie-Pacifique de l’Internationale de l’Education a organisé deux ateliers sur les problématiques syndicales qui touchent les membres du Kazakhstan Trade Union of Education and Science Workers, son affilié national, en renforçant leurs capacités de négociation et leurs compétences en matière d’organisation.

La Teachers’ Association of the Republic of Indonesia a demandé au Gouvernement et aux autorités locales de payer immédiatement l’indemnité pour la profession enseignante, qui a été réduite et différée.

Pour clôturer son 41e Congrès, la Centrale des syndicats du Québec a élu son nouveau Comité exécutif, dont la tâche est de combattre les mesures d'austérité visant à couper le financement du système éducatif de la province.

Des milliers de travailleurs/euses du secteur de l’éducation prévoient de descendre dans la rue pour protester suite aux violations des droits des travailleurs/euses non résolues par le Gouvernement et les employeurs ukrainiens et après plusieurs mois de tensions croissantes dans de nombreux secteurs.

L’Internationale de l’Education se félicite de la remise du Prix international Arthur Svensson aux dirigeant(e)s de son affilié au Bahreïn, récompensant leur combat en faveur de l’éducation de qualité et leur lutte pour les droits humains et syndicaux.

Les estimations les plus récentes suggèrent que, dans le monde, un enfant sur dix entre 5 et 14 ans est touché par le travail des enfants et n’est donc pas scolarisé. En Afrique subsaharienne, où la problématique du travail des enfants est la plus importante, 21% des enfants seraient forcés...

Un nouveau Code, soutenu par l'American Federation of Teachers, permettra de garantir un recrutement et un emploi internationaux éthiques, justes et transparents des enseignant(e)s aux États-Unis.

La liberté syndicale et le droit de grève demeurent des questions controversées à l'occasion de la Conférence internationale du Travail, où l'Internationale de l'Education plaide en faveur de meilleures conditions de travail pour l'ensemble des travailleurs/euses, ainsi que d'un renforcement du dialogue social dans le monde entier.

Le combat en faveur d’une éducation publique de qualité au Chili compte sur un appui international croissant, tandis que les enseignant(e)s et les étudiant(e)s descendent dans la rue pour défendre leurs droits face à une nouvelle réforme.

Aider les enseignants à jouir de leurs droits universels au sein de la salle de classe, ainsi qu'à l'extérieur, était le sujet des séances de formation pratique qui se sont tenues au Zimbabwe le mois dernier afin d'encourager une culture solide de droits.

Sakine Esen Yilmaz et Mehmet Bozgeyik, actuelle et ancien secrétaire généraux du syndicat turc de l’enseignement, E?itim Sen, reçoivent fin mai le prix « Febe Elisabeth Vasquez » de la FNV. Ce prix est décerné à des dirigeants syndicaux qui ont lutté pour les droits humains, les droits syndicaux et...

Cette année, la Confédération syndicale des Pays-Bas (FNV) a décerné le prix des droits syndicaux Febe Elisabeth Velasquez 2015 à deux syndicalistes turcs/turques, en reconnaissance de leur travail exceptionnel accompli dans le domaine syndical.

Les enseignant(e)s syndicalistes du Kosovo ont mis fin à leur grève après que les autorités publiques ont commencé à appliquer l'accord collectif signé par leur syndicat et le Ministère de l’Education, des Sciences et Technologies.

Les syndicalistes enseignant(e)s malgaches ont dénoncé le protocole d'accord signé entre le Ministère de l’Education et certains syndicats et associations, et rappelé les principes pour une éducation de qualité énoncés dans leur manifeste pour l'éducation.

En Norvège, une grève menée par 17 enseignant(e)s depuis le 18 mars dans une école privée subventionnée au nord d'Oslo s'est clôturée par la victoire des enseignant(e)s.

Un an après leur enlèvement, plus de 270 jeunes filles manquent toujours à l'appel au Nigéria. Les éducateur(e)s du monde entier ne les ont pas oubliées et rappellent que, partout, les écoles doivent être des sanctuaires sûrs.