Les syndicats de l’éducation demandent une clarification des circonstances qui ont conduit au crash du vol international Ukraine 752 à l’extérieur de Téhéran, qui a fait 176 victimes, dont des professeur·e·s et des étudiant·e·s.
Dans une déclaration sur son site Web, l’Association canadienne des professeures et professeurs d’université (ACPPU), membre de l’Internationale de l’Éducation, a exprimé ses condoléances aux familles et ami·e·s des victimes de l’accident d’avion qui a eu lieu le 8 janvier.
L’Edmontonienne Mojgan Daneshmand et son mari Pedram Mousavi, tous deux professeurs de génie civil à l’Université de l’Alberta, ainsi que leurs deux filles, faisaient partie des 63 Canadien·ne·s qui ont perdu la vie pendant le vol.
Les autres Canadien·ne·s à bord du vol venaient de la Colombie-Britannique, du Québec et de l’Ontario. Selon l’ACPPU, l’Université d’Ottawa a confirmé que trois de ses étudiant·e·s se trouvaient à bord du vol d’Ukraine International Airlines, qui s’est écrasé peu après son décollage de la capitale iranienne, Téhéran, en route vers Kiev.
David Edwards, Secrétaire général de l’Internationale de l’Éducation, a exprimé ses sincères condoléances et a déclaré: « C’est une perte terrible pour des centaines de familles. Nous pleurons nos collègues, nos étudiants et tous ceux dont la vie a été tragiquement écourtée. Nous exigeons une enquête internationale transparente sur les circonstances troublantes qui ont conduit à l’accident d’avion. »