A l’occasion de la 105e session de la Conférence internationale du Travail, dont le coup d’envoi est sur le point d’être donné à Genève, en Suisse, des syndicats de l’éducation du monde entier s’apprêtent à défendre fermement les droits et les conditions de travail des enseignant(e)s.
Du 30 mai au 10 juin, l’Internationale de l’Education (IE) sera représentée à la Conférence internationale du Travail par une délégation de 15 syndicats provenant de différents pays et continents. Cette délégation sera menée par Haldis Holst, la Secrétaire générale adjointe de l’IE. Les délégué(e)s participeront au travail de la Commission de l’application des normes, de la Commission sur le travail décent dans les chaînes d’approvisionnement mondiales, ainsi que de la Commission sur l’emploi et le travail décent au service de la paix et de la résilience.
L’après-midi du 31 mai, la Commission de l’application des normes se penchera sur le rapport du Comité conjoint Organisation internationale du Travail/UNESCO d’experts sur l’application des Recommandations concernant le personnel enseignant. L’IE organise une série de déclarations portant sur des questions relatives aux conditions de travail et d’emploi, à la tendance à la privatisation de l’éducation dans certains pays, et à l’impact de la guerre et autres situations d’urgence sur l’accès à l’éducation.