Alors que la journée du 27 août marque le 500e jour du kidnapping des 273 jeunes nigérianes, l’Internationale de l’Education et les citoyen(ne)s concerné(e)s du monde entier continuent de faire pression sur le Gouvernement nigérian.
Les jeunes filles ont été enlevées le 14 avril 2014 par le groupe extrémiste Boko Haram à l'école secondaire gouvernementale de Chibok.
La professeure Hauwa Abdu Biu, porte-parole de BAOBAB For Women’s Human Rights, a indiqué que le Président nigérian Muhammadu Buhari et le Gouverneur de l’état de Borno, Kashim Shettima pourraient être invités à Chibok pour témoigner de leur soutien envers les parents des jeunes filles enlevées.
IE: des environnements d’enseignement et d’apprentissage sûrs
L’internationale de l’Education (IE) demande instamment aux autorités publiques nigérianes de mettre tout en œuvre pour assurer le retour des jeunes filles saines et sauves.
Soulignant que 10,5 millions d’enfants au Nigéria ne sont pas scolarisés, l’IE répète à quel point il est important que chaque enfant puisse avoir la possibilité d’apprendre dans un milieu sûr.
Signez la pétition #Rendez-nous nos filles
L'IE invite également les citoyen(ne)s qui se sentent concerné(e)s à signer la pétition qui demande aux dirigeant(e)s du monde entier et à toutes les parties concernées de sauver ces jeunes filles.
En signant cette pétition, vous pouvez exprimer votre solidarité avec les jeunes filles enlevées et demander au monde de ne pas les oublier, marquer votre soutien pour tous les efforts consentis afin qu’elles soient libérées, saines et sauves, et que les écoles soient des endroits d’apprentissage sûrs.
Vous pouvez signer la pétition ici.